Laure Manel sera au Festival du Livre Romantique

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 Interview de Laure Manel

C’est au tour d’une auteure publiée chez Michel Lafon de répondre à l’interview des auteurs participants au Festival du Livre Romantique. Merci à elle pour sa participation !

Bonjour Laure Manel,

Beli :
Pour vous présenter de façon originale, pourriez-vous nous donner 5 anecdotes sur vous qui vous caractérisent bien ?

Laure Manel :
– Petite, je m’inventais des histoires avant de m’endormir
– J’adore danser toute seule chez moi en mettant la musique au maximum
– J’ai une tendance à l’accumulation (d’objets, de souvenirs, de livres, de photos…)
– On me taquine parfois avec mes titres animaliers, mais c’est une réalité : je suis l’amie des bêtes ! (j’ai toujours adoré les animaux, les observer, les dessiner… et j’en ai 4 à la maison).
– Je suis accro au Labello

Beli :
Si vous pouviez voyager dans le temps et donner un conseil à votre vous du passé qui sort de l’adolescence, quel serait-il ?

Laure Manel :
Ne sois pas trop raisonnable.

Beli :
Quel est le roman qui a fait tilt dans votre tête et vous a donné envie d’écrire ?

Laure Manel :
Quand souffle le vent du nord, de Daniel Glattauer. J’ai adoré le côté roman épistolaire par mails, j’ai voulu en écrire un, pour moi, pour m’amuser (avec une intrigue très différente que je portais en moi depuis pas mal d’années). Il s’appelle Histoire d’@ (autoédité en juin 2015, à paraître en poche en janvier 2020).

Beli :
Si vous pouviez diner avec un personnage réel ou fictif, quel serait-il et pourquoi ?

Laure Manel :
Je dînerais avec Marcel Proust, pour l’écouter parler de l’écriture et parce que je le trouve fascinant (il n’y a qu’à voir une page de ses manuscrits !).

Beli :
Quels sont vos genres de lecture de prédilection ? Vos auteurs favoris, ceux que vous ne pourriez lire et relire sans jamais vous lasser ?

Laure Manel :
J’aime beaucoup les romans contemporains (« tranches de vie »), mais je lis un peu de tout, y compris du théâtre et de la poésie (mais jamais de fantasy, SF et thriller). J’aime beaucoup les auteurs français du XIXeme, les poètes du XX et, plus près de nous, David Foenkinos, Tatiana de Rosnay, Didier Van Cauwelaert, Virginie Grimaldi… Je ne lis pas tant que ça, donc difficile de relire (et même de lire toute l’œuvre d’un auteur).

Beli :
Quelles sont vos sources d’inspiration ? Une anecdote à ce sujet ?

Laure Manel :
Ce sont les gens et la vie : la vie des gens… Je me nourris de tout ce qui m’entoure (et de mon vécu aussi). L’existence, ses hauts et ses bas, les émotions sont un terreau très riche. J’aime beaucoup la psychologie (depuis « toujours » : ado, par exemple, je lisais les livres de la bibliothèque de ma mère, titulaire d’une maîtrise de psycho-philo).

Beli :
Quel est parmi tous vos personnages, celui qui vous a donné le plus de mal ? A l’inverse celui qui a été étonnamment très simple à écrire et à développer ?

Laure Manel :
Je n’arrive pas à répondre à cette question, peut-être parce que je travaille beaucoup mes personnages en amont de l’écriture et qu’il me semble les connaître assez pour être eux… quels qu’ils soient, avec leurs qualités, leurs défauts, leurs failles…

Beli :
Préférez-vous écrire des standalones ou des sagas ? Pourquoi ?

Laure Manel :
Je préfère écrire des romans en un tome. Cependant, pour le kangourou, j’avais tellement de choses à développer dans l’épilogue que j’ai préféré envisager d’écrire une suite (prévue pour avril 2020). De même, on me réclame déjà une suite de « L’ivresse des libellules », pour avoir des nouvelles de mes personnages… et ça pourrait me tenter. Deux tomes, pourquoi pas, donc… mais pour l’instant je ne me vois pas écrire une saga.

Beli :
Pouvez-vous nous parler de votre dernier roman qui sera l’honneur au Festival ?

Laure Manel :
D’ici là sortira (le 7 novembre) L’Embarras du choix, un roman en trois parties qui évoque les choix de vie, avec une héroïne qui ne manque pas d’imagination, au moment où elle est censée dire OUI à son futur mari…

Beli :
Question traditionnelle que nous sommes obligées de poser : Le héros ou l’héroïne :

Laure Manel :
– Parfait à épouser ?
 (je sèche)
– Parfait pour passer du bon temps au lit ? Mon Bertrand dans L’Embarras du choix.
– Qui vous a donné tout de suite envie de l’étriper dans d’atroces souffrances ? Valmont

Beli :
Et pour finir, un portrait chinois. Si vous étiez (et n’hésitez pas à commenter vos choix ) :

Laure Manel :
– Une couleur :
 le bleu
– De la nourriture : une choucroute de la mer
– Une destination : la Thaïlande
– Un animal : le cheval
– Un Disney : Bambi
– Un héros Marvel ou DC Comic : Wonder Woman
– Une chanson : Chasing cars
– Un des 7 péchés capitaux : la gourmandise (et ce n’est pas un vilain défaut 😉)
– Un vêtement : un maillot de bain
– Une citation : « Impose ta chance, serre ton bonheur, va vers ton risque (à te regarder, ils s’habitueront ) » R. Char

Merci infiniment et rendez-vous au Festival du Livre Romantique !

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Laure Manel et ses lives

Chez Michel Lafon :
– La mélodie du kangourou
– La délicatesse du homard
– L’audace des papillons
– L’ivresse des libellules
-L’embarras du choix

Autres parutions :
– Histoire d’@
– Exils (recueil de nouvelles, collectif)
– La (toute) dernière fois…
– La vie en rose


 

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